Jean-René Combes-Damiens

Des études traditionnelles, l’université à Paris-Sor­bonne, l’École normale de musique de Paris pour ce travail forcené à l’instrument, ce piano qui restera toujours le compagnon de voyage, la référence avouée. Le Conservatoire européen de musique de Paris pour la composition avec une personnalité radicalement différente de mes souhaits esthétiques, mais dont les joutes intellectuelles, riches et toujours ­cordiales m’ont fortifié dans les choix qui furent les miens avant et après l’étude. Puis, il y a ces deux rencontres extraordi­naires, pour ne citer qu’elles : Antoine Tisné, compositeur méconnu, devenu l’ami, le soutien, et surtout Henri Dutilleux, dont le Concours international de composition portant son nom m’a honoré de deux prix, ces deux êtres m’apprenant à leur tour ce que ­musique et humanisme veulent dire. Puis les interprètes parmi lesquels je compte avec fierté Pierre-Yves Pruvot, le quatuor Manfred, l’ensemble Hélios, Régis Pasquier, Hélène Lazartigues et beaucoup d’autres qui ont été et sont encore sur ce parcours difficile « mon conservatoire » vivant, mon école et mon exemple. Tout le reste n’est que littérature.

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(couverture de …Thébaïde)

…Thébaïde

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Combes-Damiens, Jean-René. …Thébaïde, Symétrie, 2014, 7 p.