Tout comme Raymond Queneau aimait jouer avec les mots, j’aime jouer avec les notes.
Ce poète m’inspire de brèves mélodies, enlevées, pleines d’humour et de légèreté.
Pourtant, derrière cette apparente bonne humeur on ressent le passage du temps ; qui se traduit en rêverie lunaire (La lune) ou par la mélancolie des jardins oubliés de l’enfance (Jardin oublié). Et parfois émerge le trait mordant du caricaturiste ; c’est le cas
de Taxi qui clôt le triptyque dans un formidable éclat de rire.
Finalement, tout ça n’est pas sérieux…