Composée en 1950, cette pièce est dédiée à la grande violoniste Ginette Neveu après sa disparition dans un accident d’avion aux Açores. Écrite par un violoniste à la mémoire d’une violoniste, cette pièce exploite le registre le plus expressif de l’instrument dans l’esprit élégiaque propre à l’évocation de la mort.
Extraits sonores
Un enregistrement sur disque compact de Chant élégiaque est disponible sous le label Alpha.